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    APPEL !

     J'appelle les fainéants, les électeurs de gauche, les bobos verts et autres, les fonctionnaires d'état, les fonctionnaires territoriaux exténués, les profs en arrêt maladie, les parasites sociaux, les bien-pensants de st Germain des Prés, les journalistes encartés, les fils d'immigrés sans mémoire ni reconnaissance, les syndicalistes saboteurs, les employés de la sécu overbookés, les anciens communistes, tous ceux qui ne servent qu'a l'immobilisme, les fausses avancées et le déclin, de se souvenir de leur vote de mai 2012, des reproches au sujet des idées inacceptables de la droite, maintenant appliquées par leur guignol de gauche, et de colporter , comme de coutume, leur mauvaise foi  gauchiste à tous les idiots égalitaristes.

     

     

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  • Comment les électeurs français ont pu se tromper à ce point ! Il était tellement évident que Hollande ne serait pas à la hauteur, son manque de charisme, son manque d'expérience, son manque de pragmatisme, son manque de clarté, son manque , son manque tout n'est que manque, ... de tout.

    Hélas, je pense que ce n'est que le début, tous les jours une décision à coté de la plaque, le pays a besoin d'une décision, Hollande et son équipe décideront du contraire, cela devient kafkaien. Malgré la crise, la déchéance eurpenne, il continue de faire plaisir à son fond de commerce, la cohorte handicapante de fonctionnaires d'état , territoriaux ( bien sur ) . Pas une semaine sans un cache sexe-médiatique pour nous faire passer à autre chose.

    Merci à tous nos compatriotes de gauche qui, encore une fois, ont été à coté de la plaque et entrainent, encore une fois, le pays sur le chemin du déclin à marche forcée.

     

     

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    Aymeric Caron,

    Et oui, Ruquier est le plus fort, je ne sais pas comment il peut réussir à chaque fois pour trouver les plus beaux spécimens de tête à claque bobo-socialo parisien.

    Bravo, l'un des plus beau spécimen nous est offert, dès la première, nous pouvons tout de suite sentir cette pointe réacionnaire, ces bons sentiments à imposer, cette agressivité militante.

    Encore un qui bande en s'écoutant parler, qui soigne son image d'intellectuel urbain de gauche, qui nous impose son hollandisme d'emblée, je pense que c'est une réussite, son taux de nuisance est puissant, les téléspectateurs ne vont pas tarder à faire le "buzz", comme les connards disent, des interventions de ce bobo pédant.

     

    A suivre

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    Less Talk, More Do

    Christopher Finke writes about things he has done.

     
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    Extrait Le Monde

    Pas d'état de grâce pour François Hollande : sur Internet, "l'antihollandisme" démarre de manière fulgurante. Le terme n'est pas encore popularisé, mais il a une réalité tangible, en tous cas sur le Web. Depuis le 6 mai à 20 heures, une partie du Web politique français est entré en "résistance", pour reprendreun terme souvent employé.

    DE LA MAJORITÉ À L'OPPOSITION

    Dans un mouvement comparable à celui qui s'était produit en 2007, où certains partisans de Ségolène Royal avaient décidé de "résister" sur Internet après la défaite de leur championne, comptes Twitter, blogs ou sites qui soutenaient Nicolas Sarkozy ont désormais décidé d'exercer un devoir de "vigilance" à l'égard du nouveau pouvoir. Et ce avant même qu'il n'ait pris ses fonctions officielles.

    Les cyber-militants de la campagne de Nicolas Sarkozy ont été les premiers, évidemment. C'est ainsi que le compte Twitter parodique "madame Michu", proche de militants UMP, a "pris le maquis" depuis dimanche, notamment avec un blog, où s'enchaînent parodies et images à but amusant et billets plus "sérieux".

    Les jeunes militants pro-Sarkozy, que ce soit au sein des Jeunes populaires ou du mouvement universitaire UNI, sont également en pointe dans cet "antihollandisme" naissant. Echaudés par une fin de campagne dure, ils ne font pas mystère de leur peu de considération pour le nouveau chef de l'Etat, généralement qualifié de "Flamby".

     

     

    Il ne sont pas les seuls. Le site 24heuresactu, l'un des piliers de la "droitosphère", également proche de l'UMP sans y être officiellement rattaché, a également multiplié les critiques. De nombreux comptes Twitter, pages Facebook et blogs de militants ou sympathisants plus modestes relaient également le message et les polémiques, de manière humoristique ou plus sérieuse.  Non sans un certain succès.

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  • François Hollande aura beaucoup appris de Nicolas Sarkozy. Notamment qu’une entrée par trop décoiffante dans la fonction présidentielle peut vous pourrir un quinquennat. Le Fouquet’s et le yacht de Bolloré sont restés dans les mémoires, alors que l’hommage rendu le 16 mai 2007 aux martyrs de la Résistance du Bois de Boulogne par un Nicolas Sarkozy tout juste investi est tombé dans l’oubli…

    Ce sera sans doute le cas des propos tenus par François Hollande au cours de la journée du 6 Mai, à l’Elysée, devant la statue de Jules Ferry aux Tuileries, et lors de la réception à l’Hôtel de ville de Paris. Il ne faisait que reprendre les thèmes de sa campagne : l’exigence de justice dans la répartition des sacrifices inévitables, la priorité donnée à l’école, à la jeunesse, et à la recherche. Il n’est cependant pas indifférent que les deux personnalités symboliques auxquelles il a tenu à rendre hommage dès son entrée en fonction représentent l’idée de progrès telle qu’elle s’est épanouie sous la IIIème République : celui qui se fonde sur l’étude et sur l’avancement des sciences. Les enfants des écoles aux Tuileries, et les blouses blanches des piliers de laboratoire à l’institut Curie : François Hollande nous fait savoir qu’il ne craint aucun procès, ni pour ringardise par les esprits forts du déconstructivisme, ni pour illusion productiviste par les khmers verts et associés. Cela mérite d’être salué, car l’intention est bonne : on doit aider l’école à mieux remplir son rôle de transmission du savoir indispensable à l’émancipation des individus, et donner à ceux qui repoussent toujours plus loin les limites de la connaissance les moyens de faire que notre pays demeure une grande nation de science et d’industrie. C’est, bien entendu, plus facile à dire qu’à faire et de bonnes intentions ne produisent pas toujours une bonne politique. Reste que les mots engagent, et ceux qui les entendent sauront, le moment venu, juger s’ils ont été suivis d’effets.

    Les esprits resteront donc marqués, plus que par ses discours, par le déchaînement des éléments que le nouveau président dut subir dès sa sortie de l’Elysée : trombes d’eau en remontant les Champs du même nom, averse de grêle devant la statue de Pierre et Marie Curie, et enfin coup de foudre sur l’avion le conduisant à Berlin.

    Le ciel semblait vouloir tenir le rôle assigné à l’esclave qui tenait la couronne de laurier au dessus de la tête des Césars triomphants : placé tout prêt de lui alors que le peuple de Rome acclame l’empereur vainqueur, il lui chuchote sans cesse : « Souviens-toi que tu es mortel ! ». Cette coutume était destinée à protéger les souverains de l’hubris, cette démesure qui s’empare de ceux qui sont parvenus au sommet de la gloire et du pouvoir. On n’a beau être le président de la République, on subi la météo comme les citoyens ordinaires… Mais un président, fût-il normal, n’est pas un citoyen ordinaire : celui qui resterait debout à l’arrière d’une automobile décapotable alors qu’il pleut à verse serait tenu pour un original. Mais au bout du compte, François Hollande n’aura pas trop à se plaindre de l’intervention de Zeus dans un cérémonial qui avait été réglé au millimètre : le dieu du tonnerre lui a offert une métaphore imprévue : « Je tiens le cap sans frémir au milieu des tempêtes ! ». On aura également admiré le sens pratique d’un président qui a toujours un costard prêt à se substituer à celui que l’eau du ciel a transformé en serpillère.

    On a également pris connaissance des premières nominations, celles des principaux conseillers du président, et celle du premier ministre Jean-Marc Ayrault. Elles en disent beaucoup sur la manière dont François Hollande s’apprête à exercer le pouvoir. Il ne sera pas cet hyperprésident décidant de tout au vu de tous, comme le fut son prédécesseur, mais il veille que ceux à qui il délègue une partie des responsabilités soient insoupçonnables quant à leur loyauté. Rien ne vaut les camarades de promo de l’ENA pour faire fonctionner la machine élyséenne : ce sera la tâche de Pierre-André Lemas, secrétaire général de l’Elysée et de Sophie Hubac, directrice de cabinet. Le conseiller spécial, Aquilino Morelle est, lui, l’exact équivalent d’Henri Guaino chez Sarkozy : écrivain des discours, il ne vient pas de l’école delorienne et européiste qui a formé François Hollande. Opposé au Traité constitutionnel européen, il fut le principal conseiller d’Arnaud Montebourg lors de la primaire socialiste. L’important, c’est aussi de bien choisir, à ses côtés, celui qui ne pense pas comme vous, mais qui a du talent.

    Le premier ministre, chef du gouvernement qui « détermine et conduit la politique de la nation » (article 20 de la Constitution) est l’un des rares hiérarques socialistes qui n’a jamais « manqué » à François Hollande, même lorsque celui-ci ne semblait pas être le mieux placé dans la course à l’Elysée 2012. Il serait surprenant qu’entré à Matignon, il se place sur une trajectoire de confrontation avec le président de la République. Bien malin serait d’ailleurs celui qui pourrait expliquer en quoi les philosophies politiques des deux hommes pourraient diverger, alors que ce petit exercice est aisé avec Martine Aubry, ou Laurent Fabius. Jean-Marc Ayrault, qui fut brièvement prof avant de ce lancer avec succès dans la vie politique, devra jouer le rôle de surveillant général1 d’une équipe gouvernementale où des personnalités dotés d’un ego surdimensionné, mais dont la présence est indispensable en raison de leur poids politique devront cohabiter.

    L’annonce de la composition de ce gouvernement ne devrait pas comporter de surprise de taille. Le coup médiatico-politique n’est pas le genre de la maison. Il semblerait même que François Hollande prenne un malin plaisir à rendre ennuyeuse l’observation de la vie publique et des lieux de pouvoir, ayant délégué à sa compagne Valérie Trierweiler la tâche de donner au peuple la dose de ragots « people » qu’il exige désormais de ses gouvernants.

    1. Je sais. On dit aujourd’hui « conseiller principal d’éducation ». Mais le « surgé » reste la figure emblématique de la loi et l’ordre scolaire.  
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  • Le rassemblement version Hollande

     

    François Hollande se voulait rassembleur, he bien, dès son discours d'investiture, le ton est donné ! Jamais lors d'investiture présidentielle de la Vème république un président n'avait eu l'audace de faire un discours aussi inélégant et diviseur que celui-ci, osant parler de pays à , je cite : réconcilier et rassembler ( étions nous en guerre civile et plein de haine ? 48% des français qui ont voté Sarkozy étaient-ils en conflit avec tous ceux qui ne pensaient pas comme eux, quel arrogance, quel mépris et manque d'intelligence !

     

    Ce mandat commence à peine et je suis désolé de voir, dès le début que les craintes de tous ceux qui ne pensent pas que Hollande et son troupeau d'éléphants du PS ne tiennent pas la route, se révèlent exactes.

    Les grandes promesses, la main sur le coeur : " je ne nommerai jamais un ministre qui a été condamné", bafoué, "je serai le président du rassemblement", bafoué et tout cela dès le premier jour.

    Mais tout ceci n'est pas grave, un homme de gauche a le droit de changer, a le droit de se contredire, a le droit d'être inélégant, c'est toujours pour la bonne cause... l'homme de droite, dans ces mêmes conditions est certainement un salaud; c'est ce que les médias et les journalistes presque exclusivement de gauche vont nous expliquer ou éluder....

    Décidément, je préfère l'arrogance frontale de droite que celle de gauche, hypocrite et tronquée....

     

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  • Publié le 08 mai 2012 à 12:00 dans PolitiqueSociété

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    Ce n’est pas la première fois que je me trouve des affinités paradoxales avec Georges Kaplan. J’ai toujours su que le dépérissement de l’état était notre objectif commun pour que naisse enfin un individu autonome, responsable de lui-même et de son rapport à l’autre, en un mot un individu émancipé. Comme lui je crois à la possibilité d’harmonies spontanées qui permettront que le libre développement de chaque individu soit l’unique condition du développement de tous comme le disait un célèbre fils de rabbin de Trèves au XIXème siècle.

    Dans son dernier article, il fait l’apologie d’un égoïsme comme vertu et il a bien raison. Dans son papier, je lui reprocherai juste une note un peu fielleuse qui renvoie Front de gauche et Front National dos à dos. Il sait que c’est historiquement faux, intellectuellement malhonnête, voire pour les plus anciens des deux camps qui n’étaient pas du même côté du fusil, franchement insultant.
    C’est un peu comme si je lui renvoyais comme argument à sa vision friedmanienne d’une société sans état la Somalie qui effectivement fonctionne sans fonctionnaires surmutualisés mais est devenu l’archétype d’une nation retournée à la barbarie de la loi de la jungle. Ou encore que je lui rappelle que la liberté politique induite par le libéralisme politique a moyennenemnt, mais alors très moyennement convaincu les chiliens de 73 et que Margaret Thatcher enviait Pinochet pour pouvoir se passer de cette encombrante démocratie qui empêche d’aller jusqu’aux bouts des inévitables réformes.

    Mais revenons à nos moutons. J’ai voté Hollande parce que je suis égoïste. Non par par un quelconque corporatisme, je ne suis qu’un intello précaire comme on dit. Mais parce que j’ai la faiblesse de penser qu’il vaut mieux un président rose très pâle (rassurez-vous Hollande n’amènera pas dans son sillage des chars russes conduits par des femmes en burqa) pour réussir à faire pression avec des idées rouges.

    Et pourquoi faire ainsi pression avec des idées rouges ? Par goût du casernement, de l’égalitarisme niveleur, du ressentiment envers les riches ? Vous n’y êtes pas du tout. Ma seule ambition en la matière est qu’on me foute la paix et de pouvoir vivre à ma guise. J’aime les bains de mer, la lecture, le vin (le moins soufré possible). Ce sont des plaisirs simples mais il me sera impossible de les conquérir, voire de les garder dans un océan de misère autour de moi. Je pourrais faire la grande âme et vous dire que je ne pourrais pas être heureux tout seul. Mais pas du tout. J’ai juste peur (la vieille histoire de l’humanité de Hobbes avant le Léviathan) qu’un jour les pauvres viennent légitimement renverser la table et demander des comptes au salaud d’hédoniste que je suis. Et pour éviter cela, je ne vois qu’une seule solution : le communisme. Une fois les richesses également réparties à chacun selon ses besoins, tout le monde laissera tout le monde tranquille puisqu’il n’y aura plus aucune raison d’en vouloir plus.

    Bref, je suis communiste parce que j’aime mon confort et ma tranquillité. Parce ce que je suis un égoïste, un vrai.

     
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  • Cette vidéo est à voir avec humour, au second degrés, " légalement parlant

     

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  • Edwy Plenel (Photo credit: Wikipedia)

     

     

    Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais pour moi, voir et écouter plus de 10 secondes Edwy Plenel est purement inconcevable. La droite a son Zemmour, la gauche " très à gauche" a E Plenel.

    La mauvaise fois style LCR ( c'est un ancien membre ), l'anticolonialisme simpliste et total, la bien-pensance poussée à son paroxysme sont encore à peu près supportables, mais sa vanité sans borne, ses leçons de morale édictées comme loi me donnent la nausée ! Dès que des faits peuvent l'égratigner, il a un talent certain pour réécrire les faits le concernant ... exemple: son amnésie dans son autobiographie concernant son opposition a Denis Robert.. Il est beaucoup plus prolixe et imaginatif lorsque cela est utile pour calomnier ou amplifier les faits.

    Bref, il n'est pas nécessaire de faire une liste très longue, il me suffit de le voir à la télévision pour me dire que oui, les têtes à claques existent et que le mètre étalon est devant moi.





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  • Ces affaires socialistes qui rattrapent François Hollande, expliquées par Eric Zemmour

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